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J'y crois encore


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J'y crois encore
Tu pleurais et tout le monde souriait
La vie, c'est pas toujours un gâteau à la fraise...
Comment garder le sourire? En le décidant. Car moins on sourit, plus on déprime. Et plus on déprime, moins la vie nous sourit.

-"En souriant, ma chérie, on attire à soi le meilleur de la vie"assure maman Plume.
-"Bah oui, c'est plus chouette quand tu souris!"

C'est la loi de l'univers: quand on projette de l'énergie positive, on attire de l'énergie positive! C'est de la chaleur en mouvement, ni plus ni moins. Ne dit-on pas: "son sourire m'a fait chaud au coeur?"
Provocateur, sexy, glamour, ou tout simplement serein...
Un sourire même "forcé" libère des endorphines dans notre cerveau. Et l'effet de ces hormones du bonheur se voit à l'intérieur comme à l'extérieur!

7 raisons pour user et abuser du sourire:
-Pour faire dix ans de moins, sans se ruiner en crèmes antiâges :)
-Pour obtenir la dernière baguette pas trop cuite.
-Pour passer de meilleures vacances à l'étranger: le sourire est un esperanto que l'on comprend même en Papouasie.
-Pour se protéger contre les mauvaises ondes de notre boss.
-Pour se faire offrir des fleurs par un inconnu.
-Pour faire sourire l'enfant tristounet assis en face de nous dans le bus.
-Parce que la vie est plus belle quand on sourit.

Et le pays le plus souriant du monde n'est pas la france :(
Est-ce grâce à ses plages de sable blanc, sa végétation luxuriante, ses cinq cents festivals? En tout cas , si Porto Rico est le pays le plus heureux du monde, ce n'est pas pour ses richesses matérielles. Le chômage y bat son plein et les salaires sont peu joyeux.
C'est le verdict d'une étude de l'université de Michigan,qui classe depuis 1981 les pays
du monde en fonction du bonheur de leurs habitants. Comment? Simplement en leur posant deux questions:"Êtes-vous heureux? Êtes-vous satisfait de votre vie en général?"

(La France, bien plus riche, arrive en  25ème position...)

Les gens heureux n'ont pas une vie plus facile, c'est leur vision de la vie qui est différente!
Le sourire est, me semble t-il, la première des courtoisies. Les autres n'ont pas à supporter notre mauvaise humeur. Je souris beaucoup, même quand je ne vais pas très bien, cela évite les questions indiscrètes et, surtout, cela incite à voir les choses autrement. Pat timidité aussi, car un sourire cache bien la gêne. Et puis c'est fou ce que l'on provoque avec un simple sourire! De l'attention, de la gentillesse, de l'humour...
D'ailleurs, je trouve que les gens souriants sont toujours plus séduisants.
Déjà toute petite quand je prenais le bus, le métro, je ne comprenais pas pourquoi les gens avaient l'air si sérieux; donc j'allais me planter devant eux avec un grand sourire jusqu'à ce qu'ils craquent et se fendent jusqu'aux oreilles-ça a toujours marché!
Aujourd'hui encore, je souris souvent,dans la rue, à des inconnus. Certains sont tout étonnés et ravis, d'autres doivent se dire"Qu'est-ce qu'elle me veut celle là?".D'oû mon immense bonheur quand je vais dans des pays qui ont cette culture du sourire.

"Quand tu es né, tu pleurais et tout le monde souriait autour de toi. Tâche, quand tu vas mourir de sourire et que tout le monde pleure."  (proverbe arabe)

:)

 




Ecrit par liliroseplume, le Jeudi 22 Mai 2008, 13:01 dans la rubrique "Actualités".


Commentaires :

  exvag
23-05-08
à 10:22

C'est bien que tu ai cette force là.

  liliroseplume
23-05-08
à 13:33

Re:

Merci exvag;)
Après tout ce que j'ai traversé, les monts et les marées, je ne sais pas comment je fais, pour réussir à garder ce sourire si précieux,en effet.
:)

  adagio
23-05-08
à 21:05

Re:

Je crois que tu as tout dit dans ton article :)

Concernant ta capacité de sourire après les galères, je dirai déjà que tu as choisi de sourire : c'est ta décision, et tu aurais pu prendre celle à l'opposé. Donc voilà comment tu fais : tu assumes ton choix positif.

Quand on chavire de sa barque, soit on coule, soit on s'accroche à un bout de bois flottant, soit on nage et on se dirige vers le rivage.

Après, une fois sur la berge, on peut alors simplement savourer le fait d'être en vie, avec soi-même.
Mais bien vite le besoin de partager cette péripétie survient : c'est tellement fort ce qui a été vécu qu'il faut parfois le revivre en l'évoquant, qu'il faut entendre la réaction des autres, qu'il faut se rassurer et aussi lire dans le regard des proches une certaine admiration peut-être face au combat remporté...

Et si les mots manquent pour dire l'indicible, parfois l'implicite prend place, la suggestion s'impose ; puis grâce aux échanges la parole peut alors se délier et l'expression renaître.
Ton article est ainsi un excellent moyen de le faire, et les commentaires qu'il inspire aussi.

On est seul dans l'épreuve, certes, mais après ?
Là encore le partage retrouve son importance, ne pas garder cela pour soi, le dire pour le surmonter, mais aussi le dire pour prévenir.

Et des propos exprimés avec le sourire auront un impact différent que ceux jetés avec haine.

(même si je conçois tout à fait que parfois il est nécessaire, voire vital, de hurler son tourment avec violence, de sortir tout ce qui a fait - ce qui fait - mal avec des mots durs et incisifs... Mais une fois le trop plein déversé, je suis tout de même pour le retour de l'apaisement, du sourire après la colère et les larmes. Car sinon le risque est de se faire du mal à soi-même, ce qui à mon sens est pire que lorsque cela vient des autres...et beaucoup plus difficile à  surmonter, car le combat s'effectue alors avec soi-même...)

:)